dimanche 30 novembre 2014

[TEST PC - 360 - ONE] - Titanfall

Conçu par Respawn, composés d'anciens de Call of Duty, Titanfall se voulait une alternative crédible à la célèbrissime saga d'Activision. Après un matraquage médiatique destiné à vendre des Xbox One, Titanfall est passé au crible de JVH !


Graphismes

Sur Xbox One et PC, les graphismes sont honnêtes sans franchement nous donner une vraie claque. Sur Xbox 360, les textures sont très baveuses mais le jeu tourne très bien. L'optimisation est toutefois le gros problème du titre. Après près d'un an, le jeu n'a toujours pas trouvé une stabilité exemplaire. L'aliasing est très présent sur PC et les lags des serveurs sont encore présents. Pour un titre qui se veut à la hauteur des cadors de la catégorie, c'est très décevant.

Sans être une révolution graphique, Titanfall est relativement joli à l'oeil. Dommage que l'optimisation fasse défaut sur PC (et parfois même sur Xbox One selon le forum du jeu)

On notera également l'inégalité des cartes. Si certaines offrent des graphismes plus que corrects voire même beaux, d'autres laisseront l'impression amère que l'on joue à un jeu de 2008... Il semble évident que certains environnements ont été bâclés. 

Gameplay

Le jeu de Respawn Entertainment propose deux gameplays assez différents : Le pilote (soldats) et le titan. 

En pilote, le gameplay est très nerveux. La principale caractéristique du titre, c'est la présence d'un Jet pack et d'un exosquelette. Le gameplay est donc bien plus vertical que les principaux concurrents (hormis le très récent Call of Duty Advanced Warfare qui s'en est beaucoup inspiré). Si la maniabilité générale rappelle à s'y méprendre un Call Of, la verticalité apporte un vrai vent d'air frais au genre et offre de nouvelles possibilités. La présence de bots compense le fait que l'on ne soit qu'à 6 contre 6 en jeu. Cependant, l'intelligence de ceux-ci cassent un peu le plaisir de jeu et on se lasse vite de ce remplissage artificiel. Cela offre cependant du plaisir très rapidement, et notamment aux néophytes des FPS. 

En titan, le gameplay change radicalement. Fini les doubles sauts et autres wallruns, le titan ne peut rien de tout cela. Il ne peut que réaliser des dash (déplacement rapide dans une direction choisie). A l'inverse, le titan est surpuissant et peut en plus écraser ses ennemis. 3 châssis sont proposés (plus ou moins mobiles mais plus ou moins résistants) pour varier les plaisirs, même si on trouve souvent le même châssis en jeu. 

Le gameplay est malgré tout jouissif et très rapide à prendre en main. On pourra quand même reprocher que sur PC, tout est très "consolisé". On ne pourra par exemple pas choisir son serveur et l'on s'aperçoit que la souris n'est utile qu'en jeu... On aime ou on déteste. 

Un manque cruel de contenu

Le jeu parait alléchant jusqu'ici mais un élément fait inévitablement baisser la note : La durée de vie. On peut aisément arriver au niveau maximum (50) en à peine 6-7 heures de jeu et sans forcer. Titanfall propose alors aux joueurs de recommencer l'avancée du début avec un système de "GEN", un peu à la manière d'un Call Of Duty et les titres "PRESTIGE". Ainsi, le joueur débloquera un item sur son nom indiquant qu'il est GEN 2, et ainsi de suite jusqu'à GEN 9. Toutefois, on se rend bien compte que cela n'apporte pas réellement du contenu... On ne débloque d'ailleurs pas grand chose en allant au maximum des GEN. 

De plus, les modes de jeu sont assez peu nombreux et seuls deux d'entre eux offrent un réel intérêt : Attrition (Team Deathmatch) et Points Clé (Capture The Flag). Les cartes sont assez nombreuses mais se ressemblent toutes plus ou moins. 

La personnalisation est assez limitée et finalement assez peu d'armes sont disponibles. La plus polémique a sans aucun doute été le SmartGun, pistolet qui ciblait automatiquement la tête de l'ennemi. En réalité, la polémique n'a pas vraiment lieu d'être car certes, il cible automatiquement, mais après un délai assez long. Le gameplay est d'ailleurs très différent de celui des classes traditionnelles d'infanterie. Il tue en un coup, mais après un délai qui permet largement à la cible de s'en aller ou de vous tuer 3 fois avant que vous puissiez tirer... Reconnaissons toutefois que sur les bots, l'arme est cette fois vraiment cheatée... 

Le smartgun a fait polémique mais met énormément de temps à viser... 
Ah oui, et côté scénario, c'est réduit à de l'ultra basique ! C'est bien simple, il n'y a absolument aucun scénario ! On remarque seulement que deux milices s'affrontent dans différents combats. Pour être tout à fait exhaustif, le seul aspect scénaristique correspond à la "campagne". Ce n'est en réalité qu'un prétexte puisqu'il ne s'agit que de combats d'attrition classiques avec des cinématique d'intro... Un peu dérisoire et bâclée. Décevant, même si ce choix est assumé par Respawn.

CONCLUSION : 13/20

Titanfall a révolutionné le gameplay des FPS en intégrant la verticalité. C'est très jouissif et on prend rapidement du plaisir. Toutefois, on se lasse assez vite de ce gameplay assez lissé et assisté. Le manque de contenu n'aide pas à rester plus longtemps sur ce jeu. Un bon jeu très nerveux et plaisant mais qu'il ne faudra pas acheter plein pot. Dans ces conditions, JVH vous conseille vivement d'y jouer, mais uniquement pour une poignée d'euros (occasion ou soldes sur internet). 





L'avis de Ziggy :

Commercial, assisté, sans scénario, artificiellement intensifié par la présence de bots, Titanfall cumule a priori tous les défauts du jeu vidéo moderne.  Pourtant, force est de constater que l'apport de la verticalité et la présence des Titans fournissent une bonne dose de fun, et ce dès la première minute de jeu. Malheureusement, le manque de contenu, l'assistanat du gameplay, la vacuité des maps, et l'absence totale de sentiment de progression aboutissent à ce que le plaisir ne fasse pas long feu. Titanfall fait donc figure de Call Of Duty bis, tombant dan les mêmes travers, mais ayant au moins le mérite d'apporter un peu de nouveauté dans un marché du FPS multijoueur grand public assoiffé de renouveau.

dimanche 23 novembre 2014

[NEWS] - JHV fête sa première bougie !



 JVH  souffle sa première bougie !

Joyeux anniversaire JVH ! Il y a un an, à peu près jour pour jour, JVH faisait son apparition sur internet (blogspot et Facebook). Depuis le 22 novembre 2013, époque de la sortie des consoles "next gen", nous avons pris plaisir à partager avec vous tous nos coups de cœur et nos déceptions en matière de jeux vidéo et de hardware. Un an sur JVH c'est pas loin de 60 articles (NEWS/ TESTS/ COUPS DE GUEULE...) qui démontrent notre passion pour le jeu vidéo mais aussi notre volonté de proposer une alternative crédible aux "gros sites", bien souvent peu objectifs pour ne pas dire achetés. Bien que nous respectons le métier de journaliste, l'avis d'un joueur indépendant est avant tout un gage d'objectivité sur les critiques à apporter à un jeu vidéo, vous l'aurez certainement déjà constaté.

L'année 2014 a été riche en grosses sorties. C'est pourquoi nous avons décidé de faire pour l'occasion une émission spéciale sur tous les événements majeurs de cette année. Cette vidéo sera l'occasion pour nous de nous présenter et de lancer notre propre chaîne d'émissions à débats sur de multiples thèmes. Pour cette première émission, nous parlerons des jeux qui nous ont marqué ou déçu cette année.

Nous tenons également à remercier tous les lecteurs de JVH et nous vous invitons à nous faire part de vos avis sur notre blog. Les commentaires, positifs ou négatifs, sont toujours les bienvenus !

jeudi 20 novembre 2014

[NEWS] - Nouveau rédacteur chez JVH !




Comme vous le savez, JVH aime particulièrement faire savoir à ses lecteurs l'arrivée d'un nouveau disciple au sein de la rédaction. C'est donc avec grand plaisir que nous accueillons Ziggy. Fan de jeux vidéo et plus particulièrement des FPS, tel Left for Dead, Battlefield ou Borderlands, Ziggy s'est donc joint à notre équipe pour la plus belle des aventures (dont la suite vous sera contée via un season pass de 49.99€).


lundi 17 novembre 2014

[TEST PC - PS3 - 360] - The Walking Dead by Telltale Games (+ le DLC 400 days)

Vous êtes fans de la première heure de la série The Walking Dead ? Vous aimez voir des zombies décérébrés à tous les coins de rues (non, pas les roms enfin !) ? Il y a de fortes chances que vous aimiez ce point & click moderne de Telltale Games. Véritable phénomène des années 2012 et 2013, JVH revient sur ce jeu pas comme les autres qui a pour une fois rendu un réel hommage à la série. Dans ce test, nous prendrons en compte la saison 1 et le DLC dans leur globalité et ne pas se concentrer sur un épisode en particulier.


Graphismes "very old gen"

Ce n'est pas le point fort du jeu de Telltale. Pourtant, le jeu en cel-shading (ressemble à un dessin-animé) apparaît relativement maîtrisé. Si bien sur le réalisme n'est pas de mise, le studio a réussi l'exploit de ne pas décevoir, ce qui est déjà un grand pas. De plus, l'utilisation de cette méthode permet de faire tourner le jeu sur des configurations très modestes, et permet aux configurations plus musclées d'avoir une netteté et une profondeur de champ particulièrement appréciable. Si ce n'est pas vraiment un atout, ce n'est en tout cas pas un désavantage.

L'utilisation du cel-shading permet de ne pas être déçu graphiquement. Il faudra toutefois s'y habituer un peu avant de réellement l'oublier.

Le jeu dont vous êtes le héros

Dans un point and click, c'est sur ce point qu'un bon jeu se distinguera d'un mauvais jeu. Et c'est sur celui-ci que la saison 1 de Walking Dead excelle véritablement. L'histoire fonctionne a base d'un peu d'exploration mais surtout de beaucoup de dialogues, vous mettant devant un choix qui influencera la suite de l'aventure. Heureusement, tous les dialogues ne sont pas prétextes à des décisions difficiles. 

Le scénario se base sur des choix parfois simples, parfois nettement plus profonds...
Le titre de Telltale games est vraiment très bon dans sa capacité à faire aimer les personnages principaux, en particulier Lee et Clémentine. Si les premiers choix de l'aventure sont intelligemment assez inutiles et plutôt destinés à intégrer le joueur dans son univers, le joueur sera vite confronté à des choix qui paraitront très difficiles. S'ajoute à cela une dimension stressante puisque le joueur devra répondre dans un laps de temps (qui diffère selon la situation). 

En revanche, nous avons constatés à la rédaction que finalement, si les choix interfèrent dans l'aventure, on vit toujours une trame de fond qui est commune. Techniquement, il est difficile de faire autrement, c'est compréhensible. Il n'empêche que cela est parfois déroutant, surtout lorsque l'on s'est attaché à des choix difficiles. 

Gameplay et durée de vie

Le jeu est jouable soit au combo clavier/souris, soit à la manette. Force est de constater, une fois n'est pas coutume, que le pad semble plus adapté. En tout cas, le jeu est parfaitement pensé pour la manette et il faut avouer qu'un jeu comme celui-ci est tout de même plus agréable affalé sur un bon canapé avec des popcorns sur le côté. A l'instar de Beyond Two Souls ou Heavy Rain, ce jeu n'est pas réellement un modèle de nervosité mais il invite à la recherche, à profiter du scénario aux petits oignons, à pleurer les morts liés à vos choix. 

Exactement comme ces derniers jeux, The Walking Dead aurait pu laisser penser qu'au bout d'un petit laps de temps, le joueur se lasserait. Tenez vous bien, j'y ai passé 13 heures ! Je n'ai absolument pas vu passer ces longues heures et j'ai du finir le jeu en moins d'une semaine... Le scénario incite à prendre son temps et à peser le pour et le contre à chaque décision majeure. 

La maniabilité clavier/souris nous semble moins adaptée mais reste une alternative. 

Un DLC très mal venu

Le DLC 400 days proposé par Telltale aux fans pour patienter avant la saison 2 avait franchement la saveur d'un os pourri à ronger que l'on n'a que l'envie de recracher. Premièrement, le scénario est basé sur les agissements de plusieurs membres d'un groupe. On alterne donc quasiment toutes les 15 minutes entre différents survivants. Résultat : On ne s'attache pas le moins du monde à ces survivants.

On revient souvent sur ce tableau pour passer au survivant suivant... On finit par jouer chacun à la chaine, sans vraiment d'intérêt... Ce n'est que pendant les 5 dernières minutes que l'on comprendras pourquoi on s'est tant résigné à jouer à ce DLC... 
Comme si cela ne suffisait pas, les choix que l'on a fait n'ont qu'un impact bien moins important sur l'aventure globale. La durée de vie est quant à elle également anecdotique (2 heures tout au plus).

Surtout, le DLC n'a quasiment aucun rapport avec le scénario génial de la saison 1. Le seul argument de vente de Telltale a été une sorte de chantage selon lequel les agissements du joueur dans le DLC auront, au même titre que pour ceux de la saison 1, des conséquences sur la saison 2 (que nous testerons un peu plus tard sur JVH). Dommage de conclure la saison 1 sur un tel fiasco... 

CONCLUSION : 19/20 pour la saison 1 - 8/20 pour le DLC

Telltale Games nous a offert un jeu de grande qualité avec ce The Walking Dead. Révolution dans le point and click ou simple film interactif, les avis sont partagés. A la rédaction toutefois, nous avons tous été marqués par ce jeu qui pourtant ne paie pas de mine de prime abord. Le modèle économique choisi (aventure épisodique) peut déplaire à certains mais n'entraine pas vraiment un surcout pour le joueur, sauf pour celui qui a acheté épisode par épisode. En ce qui nous concerne, nous l'avons acheté moins de 10 euros pour la saison 1 complète... Nous vous laissons juge du modèle économique...

Le DLC en revanche est une vaste blague qui n'a eu qu'un effet négatif sur la série. Dommage que Telltale n'ait pas eu la présence d'esprit d'assumer ne rien sortir avant la saison 2. JVH vous déconseille de l'acheter tant il est mauvais et sans profondeur. 

samedi 15 novembre 2014

[TEST PC - ONE] - Ryse



Se targuant d'être une exclusivité sur Xbox One, Ryse est finalement sorti sur PC un an après sa sortie au lancement de la nouvelle console de Microsoft. On en rigole encore à la rédaction. Décidément, Microsoft commence à avoir l'habitude de nous faire le coup de ses fausses exclusivités (Alan Wake, Gears of War, Dead Rising 3...). Enfin bref, cette seconde jeunesse nous a permis de tester avec plaisir le jeu sur nos PC.

La claque graphique

Commençons par l'intérêt majeur de Ryse : les graphismes. Le jeu a été décrit par beaucoup de joueurs comme LA claque graphique de la nouvelle génération de consoles. C'est vrai, Ryse envoie du lourd, du très lourd. Il faut dire que Crytek a l'habitude de nous sortir des jeux aux graphismes époustouflants (Farcry, Crysis) dont la frontière entre réalité et virtuel s’estompe de plus en plus. Graphiquement le titre est irréprochable, tout est réussi ! Que ce soit la modélisation des personnages, les textures ou les effets de lumière, chapeau bas.


                                  LA claque next gen arrive sur nos PC.

On pourrait s'attendre légitimement à ce que le jeu exige une véritable machine de guerre (sachant qu'il est jouable en 4K). Détrompez vous. Nos PC avec une configuration gamer datant de 2 ans font tourner sans problème les configurations graphiques en full. Crytek a donc réussi le pari de sortir un jeu magnifique et en plus avec la prouesse de faire une optimisation aux petits oignons. Rien que pour ça, on dit bravo. Quand on regarde les derniers jeux sortis, qui arrivent à peine à la cheville de Ryse techniquement et qui demandent une configuration trois fois supérieure, il y a de quoi s'affoler et crier au scandale !  L'optimisation des jeux PC est aujourd'hui un véritable enjeu pour les consoles de salon. Sortez un jeu injouable sans la dernière GTX et vous comprendrez pourquoi les ventes sur PS4 et ONE explosent. Un scandale.


                       L'expression sur les visages des personnages est saisissante.                                             
Un gameplay daté

Passé le cap de la claque graphique, Ryse est malheureusement beaucoup moins révolutionnaire. Le gameplay est très classique (calqué sur celui de Assassin's Creed) avec un ajout fort sympathique : les kill-cams. La violence des combats prend toute son ampleur grâce à ces magnifiques exécutions au ralenti. Malheureusement, les kill-cams sont assez vite répétitives et font perdre toute la difficulté du jeu. Abattez quelques coups d'épées sur l'ennemi, passez en mode kill-cam et c'est réglé ! Seuls quelques ennemis vous donneront du fil à retordre sans vous en faire baver pour autant.


                       Les exécutions sont ultra-jouissives, bien que trop répétitives.

Un peu plus de variété dans les situations aurait été beaucoup plus agréable. On a l'impression de passer son temps à passer d'arènes en arènes avec toujours les mêmes dénouements (tuer les mêmes ennemis, utiliser les mêmes armes, braver les mêmes dangers). Ne parlons pas des boss de fin de niveau, dont les combats sont épouvantables. C'est fort dommage car on ressent vraiment un fossé entre les prouesses techniques du titre et ses mécaniques de gameplay archaïques.


                        On affronte toujours les mêmes ennemis, d'arrache pied.

Une durée de vie très limitée

Côté scénar, Ryse est également peu révolutionnaire. Sans être ridicule, l'histoire est peu prenante et surtout déjà vue et revue. Comptez 5h pour boucler les 8 missions en difficulté standard. Le contenu est donc assez maigre, surtout vu le peu de rejouabilité qu'offre la campagne principale. Le level design des niveaux n'offre pas la possibilité de tenter de nouvelles situations. Faire un jeu trop axé "couloir" ampute malheureusement sa durée de vie.


          A défaut d'être original, le scénario a au moins le mérite d'être accrocheur.

Si vous n'avez pas été rassasié en hémoglobine pendant la campagne principale, vous pourrez toujours vous défouler dans le mode arène (jouable en multijoueurs), qui propose un style de jeu survie où vous devrez survivre à des vagues successives d’ennemis. Classique mais efficace.

En ce qui concerne le portage sur PC, rien de nouveau par rapport à la version Xbox One, si ce n'est la possibilité de faire tourner le jeu en 4K.

CONCLUSION : 14/20

Ryse est un excellent divertissement. Le titre assume sans problème sont côté défoulant, violent et bourrin. Malheureusement, ce divertissement est très vite limité, la faute à une durée de vie maigrichonne et un gameplay vite lassant. Pour autant, on prend son pied. N'est-ce pas le principal ? Après tout, si vous allez voir le Hobbit, ce n'est pas pour une leçon de cinéma.

lundi 10 novembre 2014

[VIDEO] - Aperçu des stands Xbox et Sony

Pour terminer notre dispositif PGW 2014, nous vous proposons un aperçu des jeux que nous n'avons malheureusement pas pu tester mais que nous avons tout de même vus tourner. En effet, il y a eu beaucoup de monde cette année et vous offrir une couverture complète et de qualité n'aurait pas était possible. 



[VIDEO] - Debriefing du stand Nintendo à la Paris Games Week 2014

Dans le cadre de notre dispositif PGW 2014, JVH vous propose son retour sur le stand Nintendo. Beaucoup de jeux, certains gros blockbusters très attendus... Bref, on sent enfin une prise de conscience de Nintendo et peut-être également enfin un intérêt du public pour la Wii U cette année. 


[VIDEO] - JVH teste l'Oculus Rift sur Project Cars

Molasson et Ziggy ont testés pour vous la version DK2 de l'Oculus Rift sur le stand Project Cars. Ils nous expliquent toute leur surprise quant à ce nouveau périphériques mais aussi leurs quelques craintes. Enfin, ils vous donneront leur ressenti sur le jeu qui les a visiblement beaucoup emballés !

jeudi 6 novembre 2014

[NEWS] - JVH à la Paris Games Week 2014


Présent à la PGW 2014, JVH vous a concocté de petites vidéos. Ci-dessus, un petit trailer réalisé par notre réalisateur star : Molasson. Vous aurez l'occasion de le revoir sur les prochaines vidéos. Nous espérons que ces vidéos vous plairons ! N'hésitez pas à nous donner un retour pour que JVH s'améliore toujours plus !

Nous vous proposons donc une série de 3 vidéos :

  • Un récapitulatif du stand Nintendo, qui présentait pour la première fois en France son nouveau Super Smash Bros
  • Un retour d'expérience avec l'Oculus Rift sur Project Cars de Molasson et Ziggy
  • Un petit panorama en bref de ce que l'on a vu mais malheureusement pas pu tester (l'affluence était réellement impressionnante cette année, les premiers chiffres rapprochent aujourd'hui la PGW de la Gamescom).